dans le livre intitulé L’OGRE, son dernier roman, j’avais hâte de retrouver notre commissaire Dell’Orso et Maurice notre duo de choc. Gio et Maurice sont rappelés sur Paris pour une enquête qui s’annonce éprouvante et bien plus encore pour Gio...2 femmes sont retrouvées assassinées dans des conditions horribles . Nous voilà donc plongé dans le 5 ème volet du commissaire et son lieu mythique le 36 quai des orfèvres. Pour moi ce dernier volet est le plus noir et notre commissaire en est le principal protagoniste avec le tueur en série. Un tueur en série , le tueur au marteau , dont nous allons très vite connaître l’identité qui va s’en prendre à des femmes juste à cause d’un regard , d’une allure. Un psychopathe qui tue les femmes qu’il croise . Des meurtres d’une cruauté inimaginable. A chaque fois leur visage est pris pour cible avec un acharnement bestial . Il va franchir la ligne rouge en s’attaquant directement à Dell’Orso en enlevant Sylviane son épouse . Pourquoi s’attaquer à notre commissaire ? Quel lien y a-t-il entre eux ? Gio va avoir à faire à un tueur organisé , méthodique qui prend plaisir à s’amuser avec notre commissaire. Ce commissaire bipolaire , sanguin mais qui dans son métier est irréprochable n’a que quelques jours pour retrouver sa femme . Nous voilà embarqué dans une enquête bien menée et sans temps morts . Le côté psychologique des personnages est parfaitement retranscrit . Nous nous retrouvons dans la tête du tueur , des victimes et surtout de cette pauvre Sylviane. Pourquoi ce déferlement de haine de la part de ce tueur en série? Un homme brisé , meurtri mais cela lui donne t’il le droit de commettre des crimes aussi odieux ? Vous allez suivre pas à pas cette enquête et en apprendre plus sur ce psychopathe et le lien qu’il a avec Gio. Que dire sinon que je suis fan de ce commissaire , son langage quelquefois familier , un sanguin mais surtout un homme sensible . Un thriller noir qui vous fera passer un excellent moment de lecture ! La plume de l’auteur est très agréable , imagée et addictive . Une fois les premières pages tournées impossible de lâcher le livre jusqu’aux révélations finales
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